Publié par Kanata le 23 avril 2011
La nouvelle «
Il » paraîtra le 2 mai prochain dans le recueil collectif «
À quoi rêvent-ils » aux Éditions Encre Fraîche. Présentation au Salon du livre de Genève le week-end prochain.
Concours des Editions Encre Fraîche avec la participation de: Olivier Chapuis, Kanata, Elisabeth Gaillard-Daucourt, Silvia Härri, Christine Doucet, Irène Horst, Lucianne Jaggi, Hélène Dormond, Francine Collet, Olivier May, Adriana Passini, Elsa Bigoni, Silvia Härri, Diana Sicari.
Suite à une première expérience mêlant la « spatule » gourmande et la « page » littéraire, les éditions Encre Fraîche ont eu envie de lancer un nouveau défi aux amateurs de mots. Suivant ses passions, notre comité a choisi les animaux comme sujet. Quant à l’intitulé du concours auquel les auteurs de ce recueil ont dû se frotter, il se résumait à une phrase : « Les animaux, des êtres humains comme les autres. » Et quelques pistes : l’animal, un objet de consommation ?… Responsabilité de l’homme par rapport à l’animal, spécisme ?… Pas si simple ! Quelques mois plus tard, nous avons pu nous plonger avec curiosité et intérêt dans les textes que nous avons reçus non seulement de Suisse, de France, mais également d’Israël ou encore d’Afrique ! Après d’intéressantes discussions, nous en avons retenu quatorze, que nous avons le plaisir de vous présenter dans le présent recueil.
Publié par Kanata le 13 avril 2011
Tout à une fin, surtout les vacances 🙁
Bilan des courses:
* 82 épisodes (de 26)
* 248 pages (de 88)
* 324 000 signes (de 120 000)
Sur une prévision de 78 épisodes en milieu de parcours, c’est donc un poil plus 😉 Par contre je suis passé de 132 épisodes prévisionnels à maintenant 138… donc on est toujours aux 60% promis – si je ne rallonge pas encore la sauce au fur et à mesure.
Je me suis bien amusé, même si – croyez-moi sur parole – c’était vraiment du boulot avec un rythme sévère (224 000 signes en 10 jours). Si je parviens à refaire une immersion totale comme celle-ci, le premier jet sera fini avant cet été !
Publié par Kanata le 9 avril 2011
J’expliquais dans un article précédent comment – et où – me venaient mes idées et mon inspiration. Il est un autre déclencheur très important pour moi : la musique.
Je suis incapable d’écrire avec un fond sonore, ça me perturbe trop car je rentre en général dans la musique et je n’écris pas assez vite pour mettre sur papier ce que je vois dans ma tête. Par contre, certains morceaux déclenchent pas mal de choses quand je les écoute au repos, en courant – encore ! –, ou même dans les transports. Une fois quelque chose ressenti de cette manière, ça reste et je peux le coucher sur papier calmement.
Par exemple, si c’est bien lors d’une course que m’ai venu la scène de départ de « Marqueur 26 », c’est particulièrement la chanson suivante qui a déclenché le visuel précis :
[audio:http://www.kanatanash.com/wp-content/uploads/2011/04/04-Florence-And-The-Machine-Heavy-In-Your-Arms.mp3]
« Heavy in your arms » du groupe britannique « Florence and the Machine »
On aime, on n’aime pas, les goûts sont dans la nature, mais sans ce morceau « Marqueur 26 » n’existerait pas…
Publié par Kanata le 3 avril 2011
52 c’est 26+26, soit le double de 26 – je ne fais pas qu’écrire, je suis aussi calé en math 😛 –
26 c’est le nombre d’épisodes de « Marqueur 26 » publiés avant que le projet ne redevienne un bon vieux roman au lieu d’un roman-feuilleton.
Donc « Marqueur 26 » vient de doubler en s’étoffant d’un équivalent de 26 nouveaux épisodes, et ce… en une semaine ! Mais comment est-ce possible, me direz-vous ? La réponse tient en un mot : vacances !
Au lieu de bosser 14h par jour, j’ai écrit 14h par jour, c’est reposant non ? – si si, je vous assure –
Encore une semaine “de repos” devrait donc mener le roman à 78 épisodes d’ici dimanche prochain, soit grosso modo 60% du produit fini. Et les 40% restants ? Ben là… ça va bien prendre 6 mois 😥
Publié par Kanata le 2 avril 2011
Il y a une nouvelle page «cartographie » sur le blog. Elle est née d’une suite d’évènements bizarres :
- Un soir m’est apparue la triste vérité : je suis un menteur et un dissimulateur. En effet, à la question «où trouves-tu tes idées » on voit bien que j’ai répondu COMMENT je les trouve, et pas vraiment OÙ — le lâche !
- J’ai enfoncé le clou sur l’impact de la nature de mon inspiration dans «cours Forrest ! Cours ! », mais y ai-je apporté le moindre complément d’information sur le fameux OÙ ? Que nenni ! — le fourbe !
- Je me suis alors dit, pour me faire pardonner de cette ignominie, que je pourrais simplement dresser un tableau de mes lieux privilégiés de course… ainsi, d’une pierre deux coups, le COMMENT et le OÙ serait révélé. — Le génie !
- Mais en dressant ce que devait être le « petit » tableau en question, les données se sont rapidement multipliées. Et que faire de ses quelques inspirations survenues sans chaussures de course aux pieds : les oublier, les ignorer, faire comme si elle n’avait jamais existé ? — l’amnésique !
- J’ai donc fait appel à mon ami Google et mis le tout sous une forme graphique facile à naviguer avec non seulement les lieux de naissance des idées, mais aussi celles de leur développement ainsi que celles de l’action des récits, le détail des emplacements, la liste des textes et leurs liens éventuels… — Le geek !
Elle n’est pas encore tout à fait à jour, mais la page est en ligne et sera maintenue.
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