J’ai été courir aujourd’hui… Pas pour l’inspiration du matin, pas non plus pour le sport du midi. Non, j’ai été courir le soir, pour me détendre, souffler, décompresser après ces semaines d’écritures. OUI, vous l’aurez deviné, J’AI TERMINÉ LE 1er JET !!
J’ai couru ce soir… et j’avais le sourire aux lèvres 😉
Voici le résumé final du premier jet de « L’envol » :
Récap « L’Envol » – 1er jet
97 chapitres
249 pages (modèle x1,5 interligne)
80 031 mots (dont 43 594 pour le Camp NaNoWriMo août 2012)
Ceci est le dernier tableau statistique avant la fin. Je sais, c’est dur… vous vous dîtes : “comment je vais faire sans ces chiffres ? Ma vie a-t-elle encore un sens ?”
Ne pleurez pas, soyez forts. D’abord il y aura le tableau final, bientôt, et puis… après il y aura les corrections. C’est plein de chiffres et de stats les corrections. Allez, tenez bon quoi ! Ne vous laissez pas aller, vous pouvez le faire !
Voici l’avancement du premier jet de « L’envol » à date :
Récap « L’Envol » – 1er jet
93 chapitres
237 pages (modèle x1,5 interligne)
76 204 mots (dont 39 781 pour le Camp NaNoWriMo août 2012)
Un jalon super, hyper, méga important aujourd’hui, celui du “Je peux voir la dernière ligne de mon tableau en travaillant sur ma scène actuelle”, aussi connu sous le nom de “la dernière page d’Excel” ou le sobriquet “No More Scroll”. Ça paraît con comme ça, je sais… mais… ÇA SENT LA FIN.
Avant de replonger à fond dans une semaine de marathon écriture (qui verra peut-être la fin du premier jet de « L’envol »), j’ai mis la partie « cartographie » du site à jour.
Vous y retrouverez tous les coins du globe où votre serviteur a puisé l’inspiration, usé ses crayons et calepins (ou les touches de son portable) et placé l’action de ses histoires. Tout y est, du plus petit slam au plus gros roman en passant par les nouvelles et autres textes.
Une vrai petit tour du monde, mais pas en 80j celui-ci, s’aura pris 100 fois plus de temps. Je vous laisse faire le calcul 😈 (non, y a pas d’erreur…)
Le Front de libération des méchants associés (FLMA) m’a contacté, outré une fois plus qu’il n’y en ait que pour les « héros » dans la présentation des œuvres de fictions. Je suis assez d’accord, c’est injuste. Le rôle de méchant est déjà assez compliqué comme ça, et peu gratifiant… Il est pourtant capital à toute bonne histoire. Donc, en dédicace à tous les méchants brimés : voici ma page « spéciale vilains » de L’Envol.
Nom : Colonel Jérôme BEAUCHAMP
Date de naissance : 26/08/1957
Lieu de naissance : Fort-de-France
Nationalité : Française
Profession : Ancien colonel de l’Armée de Terre, mercenaire.
Fils unique d’une famille fortunée Béké de Fort-de-France, Jérôme Beauchamp ne se plaît pas en Martinique, il cherche de l’action et décide d’entrer dans une école militaire de la métropole.
Il rejoint le CMIDOME (Centre Militaire d’Information et de Documentation sur l’Outre-Mer et l’Étranger) à Versailles. Mais la marine ne lui convient pas. Après quelques années il change pour l’armée de Terre et se tourne vers une vie de conflits partout où la France envoie des troupes.
Son parcourt est parsemé de quelques interventions un peu trop musclées aux goûts de ses supérieurs, mais toujours masquées par des actions militaires ou oubliées dans les confins africains. Jusqu’au jour où il massacre tous les habitants d’un village au Soudan. Il est renvoyé de l’armée et se tourne vers le mercenariat.
Le colonel Beauchamp est l’antagoniste principal de « L’Envol ». Mégalomane et en possession d’un secret qui peut bouleverser la face du monde, il est bien décidé à dominer les événements et devenir l’homme le plus puissant de la planète…
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